Écouter, explorer, apprendre : la participation de notre collègue Marion à une conférence sur la résilience et l’adaptation lui a permis de nouer de nombreux contacts et d’acquérir des connaissances qu’elle peut utiliser dans la pratique.
La conférence était organisée par l’ATCB*. SECORES, un réseau dont le membre fondateur est Join For Water, a organisé une session spécifique sur la résilience socio-écologique et la biodiversité, au cours de laquelle Marion Iceduna – conseiller thématique chez Join For Water Ouganda – est intervenue et a présenté le projet WORIAs en Ouganda. Ce fut une expérience enrichissante pour Marion et elle a fait part de ses impressions.
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La première chose que je remarque en allant de l’aéroport à mon hôtel, c’est que les rues de Kigali sont remarquablement propres ! Une confirmation des conversations que les Ougandais ont sur le Rwanda. J’ai un peu de temps pour me préparer à quatre jours de conférence riche en sessions. La réunion annuelle de l’Association of Tropical Biological Conservation (ATBC) a pour thème « Towards inclusive science for conservation, adaptation and resilience in tropical areas » (Vers une science inclusive pour la conservation, l’adaptation et la résilience dans les zones tropicales).
J’ai été invitée à donner une courte conférence lors du symposium sur la résilience socio-écologique et la biodiversité, organisé par SECORES. J’ai eu le privilège de faire part de notre travail sur les WORIA (Women River Ambassadors) en Ouganda et de discuter du rôle crucial des femmes dans la conservation et la résilience climatique. Ce fut également une excellente occasion d’affirmer l’engagement de Join For Water en faveur de la résilience socio-écologique.
Étant donné que je travaille dans le domaine du développement, cet événement a été pour moi une occasion d’apprendre, avec principalement des présentations d’articles universitaires. Il était intéressant d’explorer et d’apprendre à partir de la recherche et du travail universitaire. Les réflexions et les questions que j’ai gardées à l’esprit après chaque présentation concernaient la manière dont nous pouvons utiliser au mieux la recherche universitaire pour soutenir la pratique du développement de manière plus significative. J’ai toujours l’impression que ces deux domaines sont parallèles.
« La recherche et le développement doivent être systématiquement intégrés pour maximiser la contribution potentielle de la recherche scientifique à la mise en œuvre des programmes de développement dans la pratique. »
La réunion a duré 4 jours. Nous avons pu assister à de nombreuses présentations, en plus des sessions principales. J’ai noué des contacts avec des personnes intéressantes et ce fut une expérience incroyable.
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*ATBC, Association of Tropical Biological Conservation
Voir également : SECORES at the ATBC conference in Kigali, July 2024 – SECORES – Network for Social-Ecological Resilience
Voir également : Les WORIA tiennent bon | Join For Water